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RP JILL GRAYSON

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RP JILL GRAYSON
( Jeu 28 Mai - 13:52 )

OSCAR I love you

Les repas de famille ce n’était vraiment pas mon truc, je ne comprenais même pas pourquoi toute cette mascarade existait encore, mais comme j’étais un fils aimant et obéissant, je ne pouvais pas décevoir mon père et donc même si c’était en traînant des pieds je venais. La seule chose qui me faisait tenir aussi, c’était Jill. Elle était la phare qui illuminait mes nuits quand j’étais perdu dans cette marée de gens qui m’appréciait, mais qui passait leur temps à médire et critiquer ce que mon père avait fait. Mais Jill se faisait désirer, et j’étais encore tout tremblant de mon altercation avec David, même si pour une fois c’était moi qui avait gagné le combat et qu’il n’allait sûrement pas nous emmerder pendant un bon bout de temps. Sûrement jusqu’à la prochaine réunion de famille, mais c’était déjà ça.
Quand enfin je voyais Jill arrivait, je courrais limite jusqu’à elle, quitte à pousser des gens sur mon passage tout simplement pour la prendre dans mes bras. Voilà, maintenant j’étais un homme heureux, surtout que j’avais tellement de choses à lui raconter. A commencer par le fait que j’avais réussi à faire ma bitch avec David et qu’il allait nous laisser tranquille. Rien que cela, annonçait une bonne journée. « Merci ! Depuis le temps que j'avais hâte qu'il arrête de me tenir la jambe. Je ne sais pas ce que tu lui as dis, mais merci. » En soit j’avais juste fait du chantage, du coup est ce que cela faisait de moi un homme horrible ? Je commençais à avoir honte de moi. « Je lui ai dit que si il continuait à faire ses insinuations débiles, mon père pourrait arrêter le financement de son entreprise » Non finalement j’avais eu raison, je ne regrettais absolument pas, mais assez parlé de David. Je regardais Jill et a chaque fois j’étais impressionné par tant de beauté. « J'essaye juste de me mettre à ton niveau. » Alors là elle exagérais, jamais je ne serais aussi éclatant de beauté qu’elle. « Tu te serais mit au sport sans que je sois au courant ? » Je ne pouvais m’empêcher d’éclater de rire. Moi, Oscar me mettre au sport ? Non ce n’était pas possible du tout. « Si manger est un sport alors oui » Ou alors c’était déjà les effets de mon régime végan. Huum, voilà qui était à méditer.

Maintenant que Jill était là, j’étais tout fier de lui annoncer que j’avais plein de potin à lui raconter et elle n’allait sûrement pas être déçue. « Olala, j'ai trop hâte d'entendre ça. » Et moi donc, parce que j’étais sûr que Jill en avait un paquet sous le coude aussi. « Mais avant, je vais nous chercher à boire. » Ouiii, c’était un excellent plan. « Oui parce que je pense qu’on va en avoir besoin » Jill venait à peine de m’abandonner pour aller chercher les verres que je me faisais alpaguer par mamie Georgette qui voulait absolument m’embrasser. Je jouais le jeu, mais je n’aimais pas ça, surtout qu’elle m’embrassait toujours sur la bouche. Après son départ je m’essuyais discrètement, plus qu’heureux de prendre le verre que Jill me tendait. « J'ignore qui l'a fait et si elle est bonne, mais je t'ai pris un verre. » Avec de l’alcool on pouvait difficilement prendre des risques non ? Tant que c’était pas l’alcool de 50 ans de l’oncle Teddy, on pouvait boire sans risque. « Tant que c’est pas l’oncle Phil on est safe » Parce que mine de rien Phil était réputé dans la famille pour faire des mélanges très approximatif « En plus, on a la meilleure place. » Jill avait raison, de notre position on avait vu sur tout les membres de la famille tout en étant relativement tranquille. « Avoue tu as réservé cette place depuis des mois » Parce que d’habitude être dans le canapé c’était mission impossible. « Avant toute chose, tu vas bien ? Maintenant que tu as dis oui, balance tes potins. » J’allais bien c’était vite dit, la mort était au dessus de ma tête, j’avais une copine, mais j’étais tombé sous le charme d’un homme qui était aussi mon ange gardien. Cela faisait quand même beaucoup de choses à raconter. « J’espère que tu es vraiment prête pour tout ce que je vais te raconter. Ta vie ne sera plus la même après ça » Mais avant, je voulais savourer mon effet en prenant une gorgée dans mon verre. Gorgée que je recrachais tout aussi vite. « C'est la recette de l'oncle Phil ... » Oui et c’était complètement infect. « Pourtant c’est pas si compliqué de mélanger des alcools, comment il peut se louper ? » C’était quelque chose que je n’arrivais pas à comprendre. « Je te raconte mon premier potin et après je vais nous chercher un alcool digne de ce nom, je connais les cachettes de la maison » J’avais laissé traîner mes oreilles pour savoir où on pouvait trouver les réserves. « Mais sinon, j’ai entendu dire que l’oncle Barney avait été pris en photo dans une tenue de soubrette pour faire renaître la flamme avec sa femme » Et si Jill ne voulait pas me croire, j’avais réussi à me procurer la photo. « Tu imagines le scandale si ça se sait ? » A côté le mariage de mon père avec l’oncle de Jill passerait pour la chose la plus merveilleuse au monde.
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Re: RP JILL GRAYSON
( Jeu 28 Mai - 13:53 )

CHARLIE I love you

|
two days off  ;
Charlie & Jill


Charlie ne peut que contempler cet endroit magnifique, tellement différent du centre de New York, avec son bitume froid et ses grattes-ciel, et pourtant si proche. Ici, on se croirait dans un autre État, un autre pays. À peine sorti de la voiture, Charlie peut déjà sentir l'odeur iodée de la mer. D'ailleurs, face à ce magnifique tableau, il ne peut que constater la beauté de l'endroit. Évidemment, Jill partage son avis. Évidemment. « Comme toujours. » se plaît-il à ajouter en lui adressant un sourire, alors qu'elle lui pince le bras sans raison apparente. Il pousse un aïe contestataire avant de fuir vers le cottage, où ils pourront enfin défaire leurs bagages. Comme l'homme grand et fort qu'il est - ou pas -, Charlie prend l'initiative d'embarquer les valises à lui tout seul, au risque de se luxer une épaule, ce qui constitue un sujet de moquerie pour Jill, spectatrice amusée. « Ouai, j'monte les quatre étages d'escaliers à pied depuis que l'ascenseur de mon immeuble est en panne. Ça compte comme un sport, non ? » Et à force de répéter cet exercice, Charlie en est sûr : il a fini par développer des fesses en béton. Dommage que personne ne puisse en profiter. Et Jill continue de se moquer gentiment, même quand il arrive malgré tout au sommet des marches et qu'il pénètre à l'intérieur du cottage pour déposer les valises dans la première pièce qu'il trouve. « Rassure-toi, beauté, tu n'auras pas à lutter contre la tentation ce soir, j'ai pris ma ceinture de chasteté avec moi. » Il a pas besoin de ceinture de chasteté pour faire voeu d'abstinence, Charlie. Il a plus touché une femme depuis Maddie et il a encore du mal à croire que ça puisse un jour lui arriver, comme si le sexe était devenu quelque chose de complément incongru et inédit. Charlie finit par attraper une brochure pour proposer à Jill des idées d'activités à faire pour ce week-end. Parce qu'ils ne vont pas passer leurs journées à l'intérieur du cottage, alors qu'il fait si beau dehors. Puis fixer la porte des toilettes - bel et bien existante cette fois-ci - finirait probablement par leur rappeler un peu trop Gab' et les rendrait sans doute mélancoliques. « Je sais... J'aurais pas dû te parler de mes mollets, je sais que ça finit toujours par te faire douter. »  souffle-t-il en feintant un air désolé alors qu'il se rassoit sur le bord du lit, face à Jill. « Bon, allez, puisque tu insistes, je veux bien te laisser tâter mon avant-bras mais je t'en prie, Jill, tâche de retenir tes ardeurs malgré tout ! » Il prend cet air complètement théâtral en relevant légèrement la manche de sa chemise pour dévoiler un avant-bras à peu près aussi musclé qu'une cuisse de poulet. Jill se penche alors vers sa valise pour l'ouvrir et en sortir un chapeau, qu'elle visse sur sa tête, sans manquer cette nouvelle occasion de taquiner Charlie. « Eh bien oui. Je suis extrêmement jaloux, mais surtout déçu que tu n'aies pas pensé à m'acheter exactement le même chapeau afin que nous soyons assortis. » Mais visiblement, Jill avait l'intention depuis longtemps de régler ce problème car déjà, elle se défait du couvre-chef pour le placer sur la tête de Charlie. « C'est vrai alors ? Tu me trouves belle ? » Il se remet debout, prenant des poses de mannequin devant l'objectif, poussant ses lèvres vers l'avant pour se faire une bouche qui ferait pâlir de jalousie Kylie Jenner. Mais Jill ramène la discussion vers des priorités nettement moins esthétiques, demandant soudainement à Charlie s'il sait si on vend des cookies dans le coin. Qu'est-ce qu'il en sait, lui ? « Aucune idée mais Google pourra probablement nous renseigner sur ce sujet. Allez, viens, les cookies n'attendent pas ! » qu'il déclare en sortant du cottage, sans se séparer pour autant de son tout nouveau chapeau. Il sort déjà son téléphone de sa poche et cherche sur Google maps la boutique de biscuits la plus proche. Il en trouve finalement une à dix minutes à pied d'ici. C'est parfait. « Donc si je comprends bien, je me suis cassé la tête à te lire une brochure touristique pour que finalement, tu veuilles juste t'empiffrer de cookies sur la plage ? » qu'il demande avec un air faussement vexé alors qu'il prend déjà le chemin de la fameuse boutique.
(c) SIAL ; icon kawaiinekoj

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Re: RP JILL GRAYSON
( Jeu 28 Mai - 13:53 )

ADRIAN I love you

 « La dernière cuite était si violente que ça ? » Il voudrait bien rire Adrian, il rigolerait bien si le sujet s’y prêtait mais non, il n’a pas envie de rire, il n’a pas envie de rire sur ce sujet parce qu’au fond, il a failli y passer un bon nombre de fois quand il y pense. Mais il arrondit les angles, il explique, il essaie de lui dire avec ces mots, il essaie de lui expliquer sans qu’elle se brusque, sans qu’elle se prenne la tête et qu’elle se dise qu’elle n’a rien fait. Il n’a pas envie de la culpabiliser du fait qu’elle est arrivée complètement ivre l’autre soir chez lui. Il ne veut pas qu’elle se sente mal, il ne veut pas qu’elle se sente coupable d’être venue dans un état minable. Et quand il finit son histoire, le coeur tambourine dans les tempes, le coeur tambourine trop fort et il a besoin de s’éloigner un instant, pour faire le café, pour ne pas se prendre la tête.« Dawkins, tu reviens à ta place ! » Il rit un peu en l’entendant, levant les yeux au ciel. « T'as pas le droit de me dire ça et de fuir comme ça. AH, c'est pour le café ? Tu as le droit ! » Son rire en guise de réponse, il ne bouge pas pour dire « Je sais que tu n’es jamais déçue quand il s’agit de café. Tu veux du lait ? » Il allume le mousseur à lait parce que lui, il en a envie en tout cas. « Déçue de quoi ? Je me suis plutôt honteuse au contraire. » « Tu n’as pas à avoir honte, Jill. » De quoi avait-elle honte ? Ce n’est pas lui qui l’aurait trouvé stupide et elle n’a pas à avoir honte avec lui. Après tout, elle a le droit de profiter de la vie, puis de toutes façons, elle ne sera jamais pire que lui. Il en faut pour être pire que lui de toutes façons. « Pourquoi tu me l'as pas dis plus tôt ? Bon en même temps, c'est pas vraiment le truc qu'on peut balancer entre le plat et la salade. » Il ne peut s’empêcher de rire, encore, en secouant la tête négativement, plus par (gentille) exaspération qu’autre chose « Tu me voyais te dire "Oh Jill, avant qu’on passe à la salade, j’étais alcoolo, j’ai fini minable, j’me suis retrouvé la gueule dans le caniveau plus d’une fois à cause de ma capacité à contrôler ma consommation d’alcool. " ? Non, puis aujourd’hui, je me dis que c’est une bonne raison, à la réunion ils ont dit que les proches ne jugeaient jamais, ou du moins, ils préféraient aider que juger. Alors je me suis dit que peut-être, un jour, tu pourrais m’aider. » Quand il aurait envie de boire un peu plus que d’autres soirs, comme ce qu’il s’est passé quand il était au bar et qu’il a fini par commander une bière avant de la donner à un parfait inconnu. « Mais quand même ! On passe du temps ensemble, tu aurais pu me le dire. C'est pas comme si tu étais un serial-killer, je ne sais pas mais il y a plus grave dans la vie que d'avoir un problème avec l'alcool. Okay, c'est pas glorieux mais tu viens de le dire toi-même, tu te soignes. » Finalement, il la regarde, parce qu’elle le touche en plein coeur, et il se pince la lèvre en souriant en coin. « Oui, je me soigne, et j’ai de moins en moins envie de replonger alors peut-être que c’est pour ça que je t’en parle. » Oui, parce qu’il n’en aurait pas parlé s’il n’était pas prêt, s’il n’avait pas ressenti le besoin de le faire, il aurait encore garder ce secret quelques temps, pas longtemps, mais peut-être encore quelques semaines voir quelques mois.  « On devrait même trinquer à tes trois années de sobriété, avec du café c'est bien le café aussi. » En parlant de café, il retire la tasse de Jill et la penche pour pouvoir faire un joli dessin à la mousse de café sur le café avant de déposer sa tasse sur le plan de travail et il ne prend pas la peine de se faire un dessin à lui, il pose le mousseur dans l’évier avant d’entendre Jill « Je suis même d'humeur joyeuse, je t'offres un câlin. » Ah bah, s’il fallait ça pour qu’il ait un câlin, i lui aurait dit avant. Quand elle vient près de lui, le brun entoure le corps de sa voisine de ses bras et ses lèvres se déposent doucement sur le sommet de son crâne tandis qu’il ferme les yeux. « Je ne suis pas là pour te juger Adrian. » Il reste immobile, là, elle contre lui, ses bras autour de Jill. Parce qu’au fond, il se sent bien. Et il s’en veut d’avoir pensé qu’elle pouvait le juger. « Oui, je sais. » Il murmure, comme s’il avait peur qu’on l’entende. « Je sais, mais je me suis dit que si jamais je t’avouais que j’étais alcoolique… Eh bien, j’aurais été différent à tes yeux.  Enfin non, pas différent. Mais j’avais peur que ça change quelque chose entre nous. Est-ce que tu serais venue complètement éméchée chez moi, si t’avais su que j’étais un ancien alcoolique ? » Il est persuadée que non, a moins qu’elle soit vraiment trop bourrée. « Et puis, je préfère passer pour un gros beauf à tes yeux, qu’à un ancien alcoolique. En parler… Ça rend les choses plus réelles. Mais il paraît qu’il faut rendre les choses réelles et ne pas se cacher derrière des mots, derrière des secrets. » Il souffle un peu en gardant les yeux clos. « Mais je me dis que t’es l’une des personnes en qui je fais le plus confiance, alors je ne pouvais et surtout je ne voulais plus te cacher quelque chose, après tout, toi, tu es sincère. Et je n’en pouvais plus de me dire que j’avais l’impression de te mentir à chaque fois qu’on se quittait. » Et il la laisse se reculer un peu, une main qui s’attarde sur la joue pour la caresser avant de lui tendre sa tasse de café « Allez, il va refroidir. Et après tu vas encore râler. »
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